Le droit à l’erreur suite
Le droit à l'erreur suite

Et si tomber faisait (vraiment) partie du plan ? 💥👣
Un bébé tombe en moyenne plus de 2 000 fois avant de marcher.
Est-ce que nous lui disons : « Bon, manifestement, ce n’est pas fait pour toi » ? Non. Nous l’encourageons. Nous l’accompagnons. Nous l’admirons.
❓ À quel moment avons-nous cessé de croire que l’erreur est une étape de l’apprentissage ?
À quel moment avons-nous eu honte de trébucher, de tester, d’essayer, de nous relever ?
Dans un monde qui valorise la réussite immédiate, oser, essayer, se rater (et recommencer) devient un acte de courage.
❓ Et si c’était justement dans l’imperfection que naissaient les plus belles avancées ?
Et si nous réhabilitions le droit d’essayer, sans se juger ?
👉 Pourquoi, à l’âge adulte, l’échec devient-il une honte plutôt qu’un passage ?
🔍 Signaux que l’on n’ose plus essayer :
– Peur d’échouer ou d’être jugé
– Hyper-perfectionnisme
– Paralysie de l’action
– Besoin excessif de contrôle
📉 Conséquences dans le monde pro :
– Moins d’innovation
– Peu ou pas d’initiatives
– Climat tendu, stressé
– Perte de confiance, perte de talents
✅ Ce que le droit à l’erreur permet :
– Développer une culture d’apprentissage
– Valoriser l’expérimentation
– Encourager la prise d’initiative
– Stimuler la motivation et la résilience
💬 J’aime rappeler aux personnes et aux équipes que j’accompagne, que l’échec n’est pas le contraire de la réussite.
C’est une étape de la réussite.
Et qu’il vaut mieux apprendre vite … que ne jamais oser.
💡 Astuce : dans vos projets, ajoutez une phase “test & ajustement” avec droit au brouillon. Vous verrez, l’énergie change.
PS : Tomber, se tromper n’est pas grave. Ne plus oser se relever, si.
Et vous, quelle est votre dernière tentative « imparfaite » mais audacieuse ?